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⏩ « Be yourself » (Sois toi-même) ⏪

Cette incantation chantée par Audioslave en 2005 n’est pas nouvelle.
L’inscription « Connais-toi toi-même était déjà inscrite sur le fronton du temple de Delphes en Grèce Antique. C’est à dire il y a plus de 2500 ans.
Le paradoxal « Deviens ce que tu es » de Nietzsche lui a donné une dimension encore plus introspective qui nous pousse à chercher une version plus aboutie qui réside en chacun de nous.
OK !!

ET le corps dans tout cela ???
Il existe une version de nous-même corporelle qui est très très forte, très efficace.
Dès que nous la laissons s’exprimer tout s’enclenche et tout devient plus simple. Et le mental suit aussi.

J’ai vécu ça des centaines de fois personnellement mais aussi en entraînant les autres.
Dès qu’ils font à leur manière ils sont très forts. Encore il y a quelques jours sur un exercice, j’ai simplement activé les gens dans leurs préférences et aussitôt ils m’ont répondu des phrases du style « oh mais j’y arrive mieux », « mais c’est pas si difficile que ça », « que s’est-il passé, j’y arrive maintenant, je me sens mieux sur l’exercice ».
« Bouges comme tu es ».
Mettre en avant ses préférences motrices nous rend plus efficients, plus faciles.
C’est ce que je contribue à faire.

⏩ La place du mental dans la performance ? ⏪

Vaste débat. Nul ne le sait.
Selon Williams et Krane (1993), de 40 % à 90 % de la performance sportive serait même liée à des facteurs psychologiques et ceux-ci seraient d’autant plus déterminants lorsque le niveau de compétition de l’athlète est élevé.

La préparation mentale apparaitrait comme une clé pour la performance sportive.
La concentration, la motivation, la gestion du stress, le développement de l’identité du sportif.
L‘approche Action Types® que j’utilise travaille sur tous ces aspects…..et bien plus encore !!!
En effet dans cette approche on ne sépare pas mental et corps.
L’un ne va pas sans l’autre.
Notre approche permet de voir si ce qu’on travaille mentalement à des répercussions positives
physiquement.
On a tous une façon différente de gérer le stress, de se motiver et cela a des répercussions physiques directes.

On ne fait pas du travail mental à proprement parler, on explore le potentiel global de l’individu qui fait appel à toutes ses ressources

⏩ Avec quelques décennies de retard ⏪

Après avoir lu un certains nombres d’ouvrages de Carl Gustav JUNG, je suis prêt à attaquer ce qui est donné comme une synthèse voulue par ce fin observateur de l’âme humaine et de ses méandres ontologiques.
Hâte de découvrir cet ouvrage collectif dirigé et voulu par JUNG.

⏩ La réinvention de la roue ? L’éclosion de la machine à éplucher les bananes ? ⏪

De nombreux travaux en psychologie du sport ont fleuri depuis les années 80. Les universités ont ouvert des masters, des licences, la recherche bat son plein.
Self-talk, discours interne, pensée positive, fixations d’objectifs, motivation extrinsèque,…

On nous parle de « Comment booster vos performances par le discours interne ? ».
On nous dit que tel champion utilise la méthode des 4C, tel autre respecte l’imagerie PETTLEP…..
🔆 Et pourtant il y a plus de 100 ans Emile Coué 🧔 sortait son livre qui a donné la méthode Coué et l’école de Franckfort.
Simple, efficace et faisant appel à nos capacités innées de guérison et de progrès, il y mettait en avant la capacité que nous avions de nous adresser à notre inconscient via l’auto-suggestion.

🔬 Il ne s’agit pas ici de remettre en question l’avancée de la science en général mais simplement de rester humble et lucide.
🚶‍♂️ 🏃‍♀️ 🏄‍♂️ 🤹‍♀️ La nature nous a doté d’une « technologie » embarquée qu’il s’agit d’écouter (de réveiller dans certains cas). 🤸‍♀️ 🏊‍♀️
L’approche Action Types permet justement de mettre en avant vos forces préférées et remet votre motricité naturelle au cœur du processus.

⏩ Et si pour une fois on parlait d’échec ? ⏪

Hier un athlète que j’entraîne a été blessé lors d’un grand championnat international.
Bien sûr, le goût est amer,bien sûr on aurait voulu autre chose, bien sûr on y a cru jusqu’au bout. Lors de cette ascension de son Olympe, sa corde a cassé, on est tombé
de haut. La chute fait mal.

Cependant c’est une occasion d’apprendre.
Mais cela ne se fera pas sans quelques conditions.
Il ne suffit pas de dire « je vais apprendre de cet échec ».

Cela vous demandera une attention portée à votre douleur ou à celle de l’autre, une mise en sens (corporelle et intellectuelle).
Prendre sens pour retrouver ses sens et du sens.

Ce ne sera pas la première fois car des « échecs » nous en avons déjà connu et ils nous ont servi. Ce que nous en ferons construira la victoire de demain et en rehaussera toutes les saveurs à venir.
Diriger son énergie vers cela au lieu de la mettre à se blâmer ou s’apitoyer. Dans ce moment maintenir son cap et ses intentions à long terme est un gage avéré de réussite.
Accepter que cela faisait partie des éventualités et qu’on a joué au risque de perdre ou de gagner.
Ne pas accepter l’échec est-ce éviter la réussite ?
Pour le dire autrement: éviter l’échec est-ce éviter la réussite ?

Prêts à jouer une autre partie d’échecs ?