Devenir ce que l’on est ?

Centrez-vous sur ce qui fonctionne.
C’est un langage bien mieux compris par votre corps.
Cela amène de la cohérence corporelle et mentale et le reste suivra
Le corps a une capacité d’adaptation énorme donc laissez-la s’exprimer
Et pourtant nous coachs, entraîneurs, enseignants
nous avons tendance à nous centrer sur la correction
Limitons au maximum cette tendance
« La mer belle reflète la lune dans sa forme ronde. La mer agitée ne donne que des reflets éclatés. »
Itsuo Tsuda
Notre mer intérieure est plus ou moins agitée par les émotions.
Nous voguons au gré de l’état de cette mer.
Au fait connaissez-vous bien VOTRE EMBARCATION ?
Le profilage que je réalise vous permet de mieux la connaître !!
On a aussi la possibilité de parler du cap que vous suivez en explorant vos Motivations Profondes©
Notre cerveau est plus sensible aux informations positives qui renforcent nos croyances personnelles.
La mise à jour de nos croyances nous concernant (« je suis bon en maths », « les autres vont se faire voler leur voiture mais pas moi », etc) est légèrement biaisée.
Pourquoi ?
Cela nous permet de supporter le monde et son incertitude. Sinon nous serions trop anxieux, trop effrayés et resterions terrés chez nous.
C’est un mécanisme protecteur de notre santé mentale.
Existe-t-il des dérèglements de ce biais de positivité ? Oui
Les enfants n’ont jamais appris à marcher ni à parler n’est-ce pas ?
Et pourtant ils marchent et ils parlent (et bien d’autres trucs !)
Leur motricité naturelle s’exprime à plein, si elle est nourrie par un environnement riche et apaisé elle donnera des miracles de facilité.
Redonner la main à cette motricité naturelle et à cette expression naturelle sera gage de créativité et de fluidité pour vous.
Sortez du cadre, enrichissez votre environnement et créez un climat de sécurité affective et hop ça fonctionne tout seul
Je vous aide tout simplement à renouer avec votre profil et vos motivations de base
A renouer avec qui vous êtes
Faire simple peut demander de s’être penché sur la complexité puis de l’oublier.
Exemple : vous souhaitez courir un peu mieux.
Peut-être allez-vous faire toutes sortes d’exercices pour améliorer votre foulée.
Cependant au moment de courir, vous allez simplement courir car si vous commencez à penser à la façon dont votre mollet se contracte vous êtes foutu !
N’oubliez pas d’oublier !
Il faut se pencher la complexité de l’être humain et du corps humain pour mieux en comprendre sa simplicité, son efficacité intrinsèque et lui faire confiance.
Donc je suis au boulot !!!
Chaînes musculaires, rôle des lombaires dans la dynamique globale, appréhension des singularités, théorie des systèmes dynamiques, apprentissage différentiel, tout y passe….. puis « j’oublie » pour que le corps fasse le reste tout seul.
*Alain Berthoz, « La simplexité », 2009
Ces dernières décennies les avancées en sciences cognitives ont démontré que le cerveau possède un mode par défaut.
Ce sont des zones des cerveaux qui s’activent lorsqu’on ne fait rien (aucun engagement dans une activité, aucune activité consciente).
Cette activité par défaut consomme bien plus d’énergie que lors d’une activité consciente.
Son rôle est probablement de jouer le chef d’orchestre et il y résiderait cette sensation d‘unité de soi.
Ne rien faire (de manière apparente) nous permettrait de lui laisser le temps de traiter les informations et surtout de les intégrer à notre système.
Par ailleurs, je mets cela en corrélation avec le fait qu’ Alain Berthoz (« Le sens du mouvement ») nous explique que le cortex cérébral est actif au début d’apprentissage puis qu’il devient plus silencieux pour laisser la main à des structures plus profondes du cerveau (cervelet, ganglions de la base).
Histoire de laisser la main à notre système pour tenir compte de nos singularités (physiques, émotionnelles, énergétiques, etc) et ainsi produire des réponses plus adaptées.
Quelle relation entre le mode par défaut et l’apprentissage la question reste ouverte mais j’ai l’impression qu’il y a des liens.
Parfois il est urgent de ne rien faire !!
Tout est dans le choix du moment.